) 08/12 VOL AV 052, PORTE DISPARU A NEW YORK (23/10/2005)
09/12 VOL AP 603, L'OISEAU AVEUGLE (30/10/2005)
10/12 VOL AA 420, RAFALE FATALE (06/11/2005)
11/12 VOL AS 261, PLONGEON MORTEL (13/11/2005)
12/12 VOL SW111 FEU A BORD (20/11/2005)
serie danger dans le ciel émission france 5
serie danger dans le ciel émission france 5
#1la suite du programme dans ce nouveau fil (l'autre ayant subi des dommages collateraux )
08/12 VOL AV 052, PORTE DISPARU A NEW YORK (23/10/2005)
09/12 VOL AP 603, L'OISEAU AVEUGLE (30/10/2005)
10/12 VOL AA 420, RAFALE FATALE (06/11/2005)
11/12 VOL AS 261, PLONGEON MORTEL (13/11/2005)
12/12 VOL SW111 FEU A BORD (20/11/2005)
) 08/12 VOL AV 052, PORTE DISPARU A NEW YORK (23/10/2005)
09/12 VOL AP 603, L'OISEAU AVEUGLE (30/10/2005)
10/12 VOL AA 420, RAFALE FATALE (06/11/2005)
11/12 VOL AS 261, PLONGEON MORTEL (13/11/2005)
12/12 VOL SW111 FEU A BORD (20/11/2005)
#2
aujourd'hui 23/10 sur France 5 à 14h30
08/12 VOL AV 052 - PORTE DISPARU A NEW YORK
(8/12) Vol AV 052 - Porté disparu à New York. Aéroport JFK, New York, 25 janvier 1990. Il est 20 heures, il fait nuit et la météo est mauvaise. A quelques centaines de kilomètres de là, dans le ciel noir, le 707 de la compagnie colombienne Avianca entame sa descente. L'avion arrive de Bogota avec 158 passagers à son bord. Dans le poste, le commandant, le copilote et le mécanicien sont concentrés d'autant plus que ce soir le ciel est particulièrement embouteillé. Le contrôle d'approche les envoie sur un premier point d'attente au-dessus de Norfolk puis un deuxième au-dessus du New Jersey puis un troisième... l'avion tourne en rond depuis plus d'une heure et demie. Il devient urgent de se poser car le niveau de carburant est très bas. Enfin, le contrôle leur donne l'autorisation d'atterrir. Mais le 707 n'est pas seul. Trois avions sont devant lui en finale sur la même piste et plusieurs appareils suivent derrière. Pour ne rien arranger, la visibilité est nulle. Les jauges sont à zéro et les quatre moteurs, l'un après l'autre, rendent définitivement l'âme : l'avion n'est plus qu' un planeur. L'inévitable arrive. Le 707 va s'écraser sur une colline au nord de Long Island. Faute de kérosène, la carlingue ne prend pas feu et les sauveteurs réussissent à extraire vivant des débris une majorité de survivants : 85 personnes sur 158. Un miracle ! Et une tragédie pour les 73 victimes tuées sous le choc.
08/12 VOL AV 052 - PORTE DISPARU A NEW YORK
(8/12) Vol AV 052 - Porté disparu à New York. Aéroport JFK, New York, 25 janvier 1990. Il est 20 heures, il fait nuit et la météo est mauvaise. A quelques centaines de kilomètres de là, dans le ciel noir, le 707 de la compagnie colombienne Avianca entame sa descente. L'avion arrive de Bogota avec 158 passagers à son bord. Dans le poste, le commandant, le copilote et le mécanicien sont concentrés d'autant plus que ce soir le ciel est particulièrement embouteillé. Le contrôle d'approche les envoie sur un premier point d'attente au-dessus de Norfolk puis un deuxième au-dessus du New Jersey puis un troisième... l'avion tourne en rond depuis plus d'une heure et demie. Il devient urgent de se poser car le niveau de carburant est très bas. Enfin, le contrôle leur donne l'autorisation d'atterrir. Mais le 707 n'est pas seul. Trois avions sont devant lui en finale sur la même piste et plusieurs appareils suivent derrière. Pour ne rien arranger, la visibilité est nulle. Les jauges sont à zéro et les quatre moteurs, l'un après l'autre, rendent définitivement l'âme : l'avion n'est plus qu' un planeur. L'inévitable arrive. Le 707 va s'écraser sur une colline au nord de Long Island. Faute de kérosène, la carlingue ne prend pas feu et les sauveteurs réussissent à extraire vivant des débris une majorité de survivants : 85 personnes sur 158. Un miracle ! Et une tragédie pour les 73 victimes tuées sous le choc.
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MayDay-MayDay
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#3
(l'autre ayant subi des dommages collateraux
Pardon famille machin tout ça
Amat victoria curam. (Catulle) La victoire aime l'effort -
MayDay-MayDay
- Pilote Confirmé
- Messages : 2232
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#4
Sinon je viens de la regarder l'emission et une chose m'intrigue.
Etant donné que les conditions météos ont été les pires qu'un pilote peut avoir pour une approche finale pendant la nuit, comment ça se fait qu'ils n'ont pas utilisé ILS ???
Pas seulement AV 502 mais les autres vols aussi. D'après ce qu'il parraît il y a eu plusieurs approches ratées ce qui a augmenté le temps d'attente des autres vols.
Etant donné que les conditions météos ont été les pires qu'un pilote peut avoir pour une approche finale pendant la nuit, comment ça se fait qu'ils n'ont pas utilisé ILS ???
Pas seulement AV 502 mais les autres vols aussi. D'après ce qu'il parraît il y a eu plusieurs approches ratées ce qui a augmenté le temps d'attente des autres vols.
Amat victoria curam. (Catulle) La victoire aime l'effort 
#5
Je pense que l'ILS a été utilisé, néanmoins comme il le disent , si à certaines altitude ils ne voient pas la piste c'est approche interrompu. Ce qui m'intrigue moi c'est la compréhension oral de l'anglais du commandant de bord...
Babarement
#7
aujourd'hui 06/11 sur France 5 à 14h30
10/12 VOL AA 420, RAFALE FATALE
(10/12) Vol AA 420 - Rafale fatale. L'orage est un des éléments naturels les plus dangereux pour l'aéronautique. Le 1er juin 1999, un MD 80 de la compagnie American Airlines tente un atterrisage en plein orage sur l'aéroport de Little Rock, aux Etats-Unis. Les pilotes perdent le contrôle de l'appareil sur la piste et l'avion termine sa course sur la rive de l'Arkansas. Onze personnes trouvent la mort dans l'accident, dont le commandant de bord. Incompétence ? Trop forte pression commerciale ? Phénomène météorologique imprévisible ? Cet épisode raconte, explique et démontre les causes réelles de cette catastrophe aérienne.
10/12 VOL AA 420, RAFALE FATALE
(10/12) Vol AA 420 - Rafale fatale. L'orage est un des éléments naturels les plus dangereux pour l'aéronautique. Le 1er juin 1999, un MD 80 de la compagnie American Airlines tente un atterrisage en plein orage sur l'aéroport de Little Rock, aux Etats-Unis. Les pilotes perdent le contrôle de l'appareil sur la piste et l'avion termine sa course sur la rive de l'Arkansas. Onze personnes trouvent la mort dans l'accident, dont le commandant de bord. Incompétence ? Trop forte pression commerciale ? Phénomène météorologique imprévisible ? Cet épisode raconte, explique et démontre les causes réelles de cette catastrophe aérienne.
#8
par contre il y a une erreur dans le numero du vol .
ce n'était pas le AA 420 mais le AA 1420 .
on peut trouver une simulation du crash ici . http://www.petermillerlaw.com/cases/detail.asp?id=2
ce n'était pas le AA 420 mais le AA 1420 .
on peut trouver une simulation du crash ici . http://www.petermillerlaw.com/cases/detail.asp?id=2
___________
Jagd_B-Heinz
#9
aujourd'hui 13/11 sur France 5 à 14h30
VOL AS 261, PLONGEON MORTEL
(11/12) Vol AS 261 - Plongeon mortel. Lorsqu'une compagnie réalise des économies sur la sécurité, la catastrophe est souvent au bout du vol. Le 31 janvier 2000, un MD 80 de la compagnie Alaska Airlines assurant le vol Puerto Valarta (Mexique)-San Francisco (Californie) connaît une défaillance mécanique en croisière. Le compensateur de la gouverne de direction se bloque en position piqué. Durant de longues minutes, les pilotes tentent de changer la position du compensateur quand soudain, celui-ci se brise net. L'avion part alors dans un piqué infernal et mortel. Aucune des 88 personnes à bord ne survivra au crash ! Les médias américains parleront largement de cet accident spectaculaire et scandaleux : deux ans auparavant, un mécanicien avait demandé en vain le remplacement de la pièce défaillante.
VOL AS 261, PLONGEON MORTEL
(11/12) Vol AS 261 - Plongeon mortel. Lorsqu'une compagnie réalise des économies sur la sécurité, la catastrophe est souvent au bout du vol. Le 31 janvier 2000, un MD 80 de la compagnie Alaska Airlines assurant le vol Puerto Valarta (Mexique)-San Francisco (Californie) connaît une défaillance mécanique en croisière. Le compensateur de la gouverne de direction se bloque en position piqué. Durant de longues minutes, les pilotes tentent de changer la position du compensateur quand soudain, celui-ci se brise net. L'avion part alors dans un piqué infernal et mortel. Aucune des 88 personnes à bord ne survivra au crash ! Les médias américains parleront largement de cet accident spectaculaire et scandaleux : deux ans auparavant, un mécanicien avait demandé en vain le remplacement de la pièce défaillante.
#10
A noter pour ceux qui ont la TNT ou le SAT , le samedi a 19h00 sur france5.
C'est une redif du meme episode du dimance a 14h30.
a+
C'est une redif du meme episode du dimance a 14h30.
a+
Le meilleur moyen de prédire l'avenir , c'est de l'inventer.
-
Razmoth
#11
Dans la continuité de ces émissions, le livre de Jean-Pierre Otelli " Les Miraculés du ciel " aux éditions ALTIPRESSE est aussi un assez bon récit de certaines catastrophes aériennes, c'est vulgarisé comme il se doit pour ne pas rebuter le néophyte tout en ayant un vocabulaire qui ne dépaysera pas le simmer friand de procédures.
L'auteur, lui même leader de patrouille acrobatique, s'attele à nous raconter des récits assez invraisemblabes de crashs avec un certain humour quand biensûr la situation le permet.
J'ai retrouvé le même schéma dans ce livre que dans les émissions sur France 5, c'est à dire la prépa du vol, les ennuis qui commence, l'inévitable crash, et sourtout un descriptif des causes et des responsabilitées.
Pour exemple, un vol qui est digne de rentrer dans le panthéon des miracles de l'histoire aérienne civile, le vol d'un Boeing 737-297 le 28 avril 1988 de la compagnie Aloha Airlines qui relie Hilo à Honolulu dans le Pacifique.
Un vol de routine on va dire, de petite distance, qui devient un véritable calvaire quand à 8000 mêtres, les passagers sont littéralement " scotchés " en voyant l'avant du fuselage se déchirer d'un bloc sur une longueur de 6 mêtres !
La dépressurisation est terrible, une hotesse de l'air présente à cet endroit même luttera de toutes ses forces pour rester à bord, elle sera finalement aspiré en dehors en faisant une chute de 8000 mêtres, ce sera la seule victime.
A ce moment là, la vitesse de l'avion est de 850 km/h...
Les autres rescapés " chanceux " auront quand même à subir le froid ambient et la raréfaction de l'oxygêne étant donné que tout les masques se sont fait la malle avec le reste de la carlingue.
Voilà, juste un résumé du récit qui m'a bien fait tripper !
L'auteur, lui même leader de patrouille acrobatique, s'attele à nous raconter des récits assez invraisemblabes de crashs avec un certain humour quand biensûr la situation le permet.
J'ai retrouvé le même schéma dans ce livre que dans les émissions sur France 5, c'est à dire la prépa du vol, les ennuis qui commence, l'inévitable crash, et sourtout un descriptif des causes et des responsabilitées.
Pour exemple, un vol qui est digne de rentrer dans le panthéon des miracles de l'histoire aérienne civile, le vol d'un Boeing 737-297 le 28 avril 1988 de la compagnie Aloha Airlines qui relie Hilo à Honolulu dans le Pacifique.
Un vol de routine on va dire, de petite distance, qui devient un véritable calvaire quand à 8000 mêtres, les passagers sont littéralement " scotchés " en voyant l'avant du fuselage se déchirer d'un bloc sur une longueur de 6 mêtres !
La dépressurisation est terrible, une hotesse de l'air présente à cet endroit même luttera de toutes ses forces pour rester à bord, elle sera finalement aspiré en dehors en faisant une chute de 8000 mêtres, ce sera la seule victime.
A ce moment là, la vitesse de l'avion est de 850 km/h...
Les autres rescapés " chanceux " auront quand même à subir le froid ambient et la raréfaction de l'oxygêne étant donné que tout les masques se sont fait la malle avec le reste de la carlingue.
Voilà, juste un résumé du récit qui m'a bien fait tripper !
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Razmoth
#13
C'est clair que du coup, avant de grimper en avion, tu demandes à l'hotesse le pedigree de la trapanelle qui t'emmenera te faire bronzer la pilule à Ibiza
Ca me rappelle à Cuba, une excursion à cayo largo....quand j'ai vu les antonov an 2 qu'on nous proposaient pour l'escapade, je me suis amusé avec le pilote à lui demander où étaient les parachutes ?!
D'un ton grave et serieux, il me répond: ......Caramba, c'est les appareils les plus sûr de la flotte cubaine !
Sans tomber dans le macabre, l'autopsie d'un crash est très passionant, ca foisonne d'info sur les procédures d'urgences, la maintenance, etc... c'est peut-être pas la partie la plus reluisante de l'aviation, mais c'est à coup sûr la plus importante.
Ca me rappelle à Cuba, une excursion à cayo largo....quand j'ai vu les antonov an 2 qu'on nous proposaient pour l'escapade, je me suis amusé avec le pilote à lui demander où étaient les parachutes ?!
D'un ton grave et serieux, il me répond: ......Caramba, c'est les appareils les plus sûr de la flotte cubaine !
Sans tomber dans le macabre, l'autopsie d'un crash est très passionant, ca foisonne d'info sur les procédures d'urgences, la maintenance, etc... c'est peut-être pas la partie la plus reluisante de l'aviation, mais c'est à coup sûr la plus importante.
#14
Cuba, je me souviendrais toujours des zincs que j'ai pris là-bas... 
J'y suis aussi allé il y a une dizaine d'années avec ma famille.
A l'aller et au retour, on avait pris un Ilyushin Il-62 de la compagnie nationale cubaine, un vieux truc des années 60 presque bon pour la casse. Le chauffage était même tombé en panne au retour, on avait crevé de froid pendant tout le vol. :laugh:
Sur une ligne intérieure, on avait pris un DC-3, encore plus vieux que l'Ilyushin, mais qui bizarrement m'inspirait plus confiance. En fin de compte, il était pas si mal ce vieux coucou, et c'était quand même un privilège de voler dans un avion de légende comme celui là.
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Moos_tachu
- Banni
- Messages : 6391
- Inscription : 07 février 2003
#15
T'es sûr qu'il était pas plutôt mexicain ton pilote ? :laugh:Razmoth a écrit :D'un ton grave et serieux, il me répond: ......Caramba, c'est les appareils les plus sûr de la flotte cubaine !
Juste un truc à propos de Cuba : après 40 ans de blocus américain, faut pas s'étonner qu'ils aient du matos périmé
Mud, Wind and Fire
#16
aujourd'hui 20/11 à 14h30 sur france5 (le dernier de la serie )
12/12 VOL SW111 FEU A BORD
(12/12) Vol SW 111 - Feu à bord. Le 2 septembre 1998, le vol quotidien Swissair 111 décolle de New York pour Genève. Une heure plus tard, alors que l'avion est passé à son rythme de croisière, à 11 000 mètres d'altitude au large de Terre-Neuve, une fumée suspecte apparait dans le poste de pilotage. En quelques minutes, cette fumée légère va se transformer en véritable incendie et détruire les commandes vitales de l'avion ! Un quart d'heure plus tard, le MD 11 percute l'océan. Les 229 passagers et membres d'équipage sont tués. Une des plus grandes enquêtes jamais menée permettra, quatre ans plus tard, d'identifier l'origine de l'incendie -un court-circuit- et le matériau responsable de la propagation rapide des flammes, interdit, depuis, dans les avions.
) 12/12 VOL SW111 FEU A BORD
(12/12) Vol SW 111 - Feu à bord. Le 2 septembre 1998, le vol quotidien Swissair 111 décolle de New York pour Genève. Une heure plus tard, alors que l'avion est passé à son rythme de croisière, à 11 000 mètres d'altitude au large de Terre-Neuve, une fumée suspecte apparait dans le poste de pilotage. En quelques minutes, cette fumée légère va se transformer en véritable incendie et détruire les commandes vitales de l'avion ! Un quart d'heure plus tard, le MD 11 percute l'océan. Les 229 passagers et membres d'équipage sont tués. Une des plus grandes enquêtes jamais menée permettra, quatre ans plus tard, d'identifier l'origine de l'incendie -un court-circuit- et le matériau responsable de la propagation rapide des flammes, interdit, depuis, dans les avions.
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Maverick92
- Pilote Confirmé
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- Inscription : 26 janvier 2004
#17
Pour info il me semble qu'il y a une rediff de l'émission le jeudi aprem, je suis tombé dessus par hasard la semaine dernière.