Information NOSA
#26
En étant extrémiste, l'avenir des pilotes aussi est compromis...y'a qu'à regarder le budget alloué aux drones de l'autre coté de l'Atlantique, ça nous donnera une idée de ce qui nous attend...
Pour en revenir aux NOSA, il y a quand même une variable à ne pas oublier...ne pas être sensible au mal de l'air. Un pilote me racontait qu'un de ses copains de promo orienté NOSA à passé ses 15 premiers vols avec le sac à vomi. Après c'est passé, mais il a fallu que le type s'accroche dur (pas facile de partir en mission et être évalué quand on sait qu'on va être malade...).
N'étant pas sensible au mal de l'air en Transall et autres transporteurs et avions légers, j'avoue qu'une fois ficelé comme un rôti sur le siège éjectable, respirer au travers d'un masque qui pue et transpirer à grosses gouttes ça m'a rendu malade pratiquement à chaque fois. Heureusement la seule chose que j'avais à faire c'était profiter du paysage. Certaines personnes n'y sont pas sensibles, d'autres le découvrent lorsqu'elles volent en chasseur.
Je te souhaite d'arriver à faire le métier qui te passionne, accroches toi!
@+
Pour en revenir aux NOSA, il y a quand même une variable à ne pas oublier...ne pas être sensible au mal de l'air. Un pilote me racontait qu'un de ses copains de promo orienté NOSA à passé ses 15 premiers vols avec le sac à vomi. Après c'est passé, mais il a fallu que le type s'accroche dur (pas facile de partir en mission et être évalué quand on sait qu'on va être malade...).
N'étant pas sensible au mal de l'air en Transall et autres transporteurs et avions légers, j'avoue qu'une fois ficelé comme un rôti sur le siège éjectable, respirer au travers d'un masque qui pue et transpirer à grosses gouttes ça m'a rendu malade pratiquement à chaque fois. Heureusement la seule chose que j'avais à faire c'était profiter du paysage. Certaines personnes n'y sont pas sensibles, d'autres le découvrent lorsqu'elles volent en chasseur.
Je te souhaite d'arriver à faire le métier qui te passionne, accroches toi!
@+
#27
En avant première voici l'adresse du site du Centre de Formation des Équipages Mirage 2000D :
http://www.cfed.info/
http://www.cfed.info/
#28
C'est parce que t'es un grand émotif !!gillouf1 a écrit : j'avoue qu'une fois ficelé comme un rôti sur le siège éjectable, respirer au travers d'un masque qui pue et transpirer à grosses gouttes ça m'a rendu malade pratiquement à chaque fois.
--------------- Bensky et Mutch---------------
A la Chasse ...
Bord d'aile !!!....
Le 2/12 sur Grob...
A la Chasse ...
Bord d'aile !!!....
Le 2/12 sur Grob...
#29
Merci pour le lien MikiBzh; j'airai voir ça ce soir quand j'aurai le temps, mais je te remercie vraimentEn avant première voici l'adresse du site du Centre de Formation des Équipages Mirage 2000D :
http://www.cfed.info/
#30
Ce n'est pas justement à ça, aussi, que sert le stage de motivation que font les EOPN en début de formation en unité ?gillouf1 a écrit :Pour en revenir aux NOSA, il y a quand même une variable à ne pas oublier...ne pas être sensible au mal de l'air.
Voir comment ça va se passer dans la vie réelle avec de vrais avions ?
Signé Werner, truffe pas malade en avion
Frigg's Skipper
#31
Mais le mal de l'air ce n'est pas un peu comme le mal de mer?: après quelque jours généralement quasiment plus personne n'est malade en croisière. Ce n'est pas quelque chose auquel on s'habitue?
#32
En même temps, il est rare de prendre plusieurs G en virage en bateau... ou du négatif en redescendant de l'autre côté de la vague.
[SIGPIC]http://altaiire4.free.fr/il2/C6_Mahakam_5.gif[/SIGPIC]
#33
Il n'y a pas que les G soutenus qui rendent malade: la plupart des personnes qui font un premier vol en DR400 en air turbulent seront malades, tout comme la plupart de ceux qui sont sur un bateau par mauvais temps.Mahakam a écrit :En même temps, il est rare de prendre plusieurs G en virage en bateau... ou du négatif en redescendant de l'autre côté de la vague.
Après c'est sûr que les G soutenus ne doivent pas aider...mais ça aussi on s'y habitue...
#34
J'en sais quelque chose : mon "baptême de l'air" en Cessna 172.
Je devais 5 ans, et pourtant je m'en rappelle comme si c'était hier : 20 minutes la tête dans le sac à vomi !
Mon post précédent, c'était juste une blague à 2 balles. J'aurais dû rajouter ça :
Je devais 5 ans, et pourtant je m'en rappelle comme si c'était hier : 20 minutes la tête dans le sac à vomi !
Mon post précédent, c'était juste une blague à 2 balles. J'aurais dû rajouter ça :
[SIGPIC]http://altaiire4.free.fr/il2/C6_Mahakam_5.gif[/SIGPIC]
#35
T'en as gardé l'expressionMahakam a écrit :J'en sais quelque chose : mon "baptême de l'air" en Cessna 172.
Je devais 5 ans, et pourtant je m'en rappelle comme si c'était hier : 20 minutes la tête dans le sac à vomi !
Mon post précédent, c'était juste une blague à 2 balles. J'aurais dû rajouter ça :
Ost
#36
ca y est, je viens d'aller voir le site sur la formation des équipages de 2000 D, et c'est une vraie mine d'or ! Encore merci pour le lien Mikibzh
#37
Ce qui fait vomir généralement en avion, c'est généralement la perte de repères de l'oreille interne.
Ex: en virage dans un avion, si on ferme les yeux, on a l'impression d'être à l'horizontale même à 90° d'inclinaison. Lorsqu'on ouvre les yeux et qu'on voit l'inclinaison, on donne au cerveau une information contradictoire à ce que l'oreille interne ressent.
Quand le cerveau ne comprend plus ce qui se passe, il provoque d'abord les nausées, puis dans des cas extrêmes l'évanouissement.
Si ça dure, certaines personnes peu habituées vont avoir des nausées. Mais on peut s'y habituer. J'ai entendu dire que les astronautes sont incapables de faire quoi que ce soit les 4 ou 5 premiers jours dans l'espace leurs deux ou trois premières sorties tellement leurs nausées sont fortes, justement à cause de la perte de l'orientation spatiale de l'oreille interne. Puis ils n'en ont plus.
Ex: en virage dans un avion, si on ferme les yeux, on a l'impression d'être à l'horizontale même à 90° d'inclinaison. Lorsqu'on ouvre les yeux et qu'on voit l'inclinaison, on donne au cerveau une information contradictoire à ce que l'oreille interne ressent.
Quand le cerveau ne comprend plus ce qui se passe, il provoque d'abord les nausées, puis dans des cas extrêmes l'évanouissement.
Si ça dure, certaines personnes peu habituées vont avoir des nausées. Mais on peut s'y habituer. J'ai entendu dire que les astronautes sont incapables de faire quoi que ce soit les 4 ou 5 premiers jours dans l'espace leurs deux ou trois premières sorties tellement leurs nausées sont fortes, justement à cause de la perte de l'orientation spatiale de l'oreille interne. Puis ils n'en ont plus.
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- Jeune Pilote
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#38
De toute façon dés les premiers vol en voltige on est forcément un peu balloté au niveau de l'estomac (sans aller jusqu'à être forcément malade). A part quelques cas très rare ça fini toujours par passer, plus ou moins vite selon les personnes. Il y a quelques remèdes homéopathique qui trainent (Cocculine je crois) mais je ne suis pas totalement persuadé de leur utilité.pOy-yOq a écrit :Mais le mal de l'air ce n'est pas un peu comme le mal de mer?: après quelque jours généralement quasiment plus personne n'est malade en croisière. Ce n'est pas quelque chose auquel on s'habitue?
bref, pas d'inquiétude.
Chat collé au plafond, tires le manche à fond !