Un autre géant nous a quittés.
Publié : mar. déc. 10, 2024 10:50 am
De retour du Canada où je m'étais retiré quelque temps loin de tout, j'ai eu la confirmation de ce que je craignais, à savoir le décés du Professeur yasuho Izawa qu'un cancer a fini par emporter. Lui qui suivait tout mes écrits auxquels il participait très souvent ne serait-ce que pour l'iconographie, n'avait plus répondu à mes mails depuis le début du mois de juin et les numéros 109 et 110 de "Batailles Aériennes" que je lui avais adressés étaient restés sans réponse. Au moment où on apprend la disparition de Chris Shores, c'est un autre géant qui quitte la scène. Toutes mes penseés vont à son épouse, à son fils qui a suivi l'exemple paternel de la carrière médicale et à sa fille Sakura.
Il y a 34 ans de cela, nous avions été mis en contact par un autre Gentleman, lui aussi parti trop tôt, Henry sakaida. J'aime à penser qu'ils sont à présent réunis avec les pilotes dont ils nous ont tant parlé et qu'ils ont fait revivre à travers leurs écrits.
En fin d'année dernière, Yasuho Izawa m'avait fait un merveilleux cadeau "presqu'un cadeau d'adieu" en me faisant parvenir une énorme documentation (le fruit d'années de recherches de documents écrits et de photos) sur la carrière opérationnelle des bombardiers de la Marine et sur ceux de l'Armée depuis les débuts de l'aviation impériale jusqu'en 1945. Il aimait la France (une convention médicale l'avait amené à Paris il y a quelque 30 ans de cela) et il était heureux de voir que des français s'intéressaient aux exploits des aviateurs nippons. J'ai donc à coeur de lui dédier deux études à venir sur ces thèmes...
Comme Henry Sakaida, Yasuho Izawa était devenu un ami. Qu'ils reposent en paix...
Il y a 34 ans de cela, nous avions été mis en contact par un autre Gentleman, lui aussi parti trop tôt, Henry sakaida. J'aime à penser qu'ils sont à présent réunis avec les pilotes dont ils nous ont tant parlé et qu'ils ont fait revivre à travers leurs écrits.
En fin d'année dernière, Yasuho Izawa m'avait fait un merveilleux cadeau "presqu'un cadeau d'adieu" en me faisant parvenir une énorme documentation (le fruit d'années de recherches de documents écrits et de photos) sur la carrière opérationnelle des bombardiers de la Marine et sur ceux de l'Armée depuis les débuts de l'aviation impériale jusqu'en 1945. Il aimait la France (une convention médicale l'avait amené à Paris il y a quelque 30 ans de cela) et il était heureux de voir que des français s'intéressaient aux exploits des aviateurs nippons. J'ai donc à coeur de lui dédier deux études à venir sur ces thèmes...
Comme Henry Sakaida, Yasuho Izawa était devenu un ami. Qu'ils reposent en paix...