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AEROJOURNAL N°102

Publié : ven. sept. 27, 2024 10:43 pm
par marco
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Au sommaire du n°102 - Octobre/Novembre 2024

+ La dernière mort de la Luftwaffe
14 janvier 1945, le dimanche noir des Jagdgeschwadern (3e partie)
Les hécatombes subies par les JG 300 et JG 301, littéralement étrillées par les P-51D Mustang de la 8th Air Force le 14 janvier 1945, ne marquent aucunement la fin de cette terrible journée pour la chasse allemande, puisque le retour vers l’Angleterre est jalonné de nouveaux combats tout aussi coûteux pour elle. D’autant que la RAF (parfois aux accents norvégien et français) se charge, en plusieurs endroits du front, d’enfoncer les derniers clous du cercueil de certaines Jagdgeschwadern.

+ 1er septembre 1939 : la bataille de Varsovie
Contrairement à une idée communément répandue, l’aviation polonaise n’est pas écrasée au sol dès le premier jour de la guerre. Toutefois, dans le ciel, elle souffre terriblement face à la Luftwaffe. Ses avions sont surclassés, ses pilotes dépassés et elle s’avère incapable de protéger Varsovie avec efficacité. Un début de campagne placé sous de mauvais auspices.

+ Pourquoi le Zéro n’a pas eu de successeur ?
Un impossible défi
Au début de 1942, au pic de l’offensive japonaise en Asie du Sud-Est, le Zéro forge sa légende. La Marine et ses pilotes ne jurent que par son efficacité et la beauté de ses lignes alors que ses adversaires voient en lui un avion démoniaque supérieurement agile en combat aérien, capable de surgir loin sur leurs arrières. Cette réputation flatteuse va être une des raisons, mais elle ne sera pas la seule, qui rendra sa succession si délicate alors que dès l’automne 1942 sa domination est remise en cause.

+ L’Oberst Walter Oesau
Les débuts d’un chef d‘exception
Grande figure de la Jagdwaffe, Walter Oesau comptait, avec 127 victoires créditées dont 74 remportées sur le front de l’ouest, parmi les plus grands as de la Luftwaffe. Aussi exigeant envers les autres qu’il l’était envers lui-même, il possédait une forte personnalité qui ne pouvait laisser personne indifférent.

+ Marqués du sceau de la malchance
L’histoire des Breda Ba.65 chiliens
Il y a des avions qui connaissent une vie opérationnelle compliquée au sein de la force aérienne en ayant fait l’acquisition et les Breda Ba.65 chiliens en font indéniablement partie. Entre inexpérience des pilotes, complexité du maniement de la machine – toutes deux à l’origine d’innombrables accidents – auxquelles s’ajoute la pénurie de pièces détachées, leur courte histoire aura été d’un bout à l’autre un véritable calvaire.

+ « Pas d’animaux à bord ! »
« Wild Bill » Crump et le Coyote
« Pas d’animaux à bord ! » Cela peut sembler une évidence quand on combat dans l’habitacle exigüe d’un monoplace de chasse durant la Seconde Guerre mondiale, mais visiblement, le 1st Lieutenant John W. « Wild Bill » Crump, pilote du 360th Fighter Squadron, 356th Fighter Group, n’en avait cure. Il accomplit en effet une demi-douzaine de missions avec son animal de compagnie : un bébé coyote !

+ Ligne rouge à Managua !
L’affaire des MiG-21 nicaraguayens
En juillet 1979, confronté à une impopularité grandissante et lâché par l’administration Carter après l’exécution en direct à la TV d’un journaliste américain d’ABC News par sa Garde nationale, le dictateur du Nicaragua Anastasio Somoza Debayle, dernier dirigeant de la dynastie des Somoza, démissionne et quitte le pays avec sa famille.

Re: AEROJOURNAL N°102

Publié : ven. sept. 27, 2024 11:35 pm
par stalwart
Des sujets à priori intéressants.

Re: AEROJOURNAL N°102

Publié : lun. sept. 30, 2024 2:49 pm
par larsenjp
Disponible en kiosque.

Re: AEROJOURNAL N°102

Publié : lun. sept. 30, 2024 2:55 pm
par larsenjp
A priori plutôt intéressant oui.
Au passage le prochain numéro abordera, entre autres, la destruction du pont de Remagen par la Luftwaffe.

Re: AEROJOURNAL N°102

Publié : lun. sept. 30, 2024 8:48 pm
par Deltafan
marco a écrit :
ven. sept. 27, 2024 10:43 pm
+ Pourquoi le Zéro n’a pas eu de successeur ?
Un impossible défi
Au début de 1942, au pic de l’offensive japonaise en Asie du Sud-Est, le Zéro forge sa légende. La Marine et ses pilotes ne jurent que par son efficacité et la beauté de ses lignes alors que ses adversaires voient en lui un avion démoniaque supérieurement agile en combat aérien, capable de surgir loin sur leurs arrières. Cette réputation flatteuse va être une des raisons, mais elle ne sera pas la seule, qui rendra sa succession si délicate alors que dès l’automne 1942 sa domination est remise en cause.
C'est surtout cet article qui m'intéresserait. Autant que je sache, le successeur de chez Mitsubishi n'a pas été au point avant la fin de la guerre. Etonnant vu le temps que le constructeur a eu pour le préparer (ils s'y sont pris trop tard vu le succès du Zéro ?). Surtout quand on voit ce que Nakajima a réussi à faire avec le Ki-84, synthèse de ces Ki-43 (équivalent terrestre du Zéro) et Ki-44 (contemporain du Ki-43, avec des spécifications correspondant plus à celles de l'Occident).