Aéro-Journal n° 29
Publié : ven. mai 11, 2012 10:12 am
Aéro-Journal n° 29
Après eux le déluge
Les briseurs de barrages
par Luc Vangansbeke
Le raid lancé par le Bomber Command contre les barrages allemands, dans la nuit du 16 au 17 mai 1943 reste l’une des opérations les plus audacieuses de la Seconde Guerre mondiale. Le succès fut attribuable tant à l’entêtement d’un ingénieur, qui contre vents et marées, surmonta tous les obstacles bureaucratiques et techniques, qu’à l’engagement d’une unité d’élite, spécialement formée pour cette mission. Mais les résultats furent-ils vraiment à la hauteur des espérances ?
Les petits Zéro qui vont sur l’eau
Le Nakajima A6M2-N « Rufe
par C-J. Ehrengardt
Sachant qu’une hydrobase est plus simple et plus rapide à construire qu’un aérodrome dans les îles du Pacifique les plus reculées et que ses porte-avions ne sauraient avoir le don d’ubiquité, l’état-major de la Marine impériale s’intéresse à un hydravion de chasse destiné à couvrir les débarquements amphibies. Elle sera la seule à mettre en œuvre un appareil de ce type de toute la Seconde Guerre mondiale.
Les avions français : le Bloch MB.200
par C-J. Ehrengardt
En 1928, un premier programme portant sur un bombardier lourd diurne et nocturne à cinq places (B5/Bn5) est lancé pour pourvoir au futur remplacement des LeO 20. Ce programme est modifié à deux reprises, en 1930 et en 1932, et entrera finalement dans le cadre du Plan I, autorisé en juin 1933.
Les Aero MB.200 tchécoslovaques
par Michal Plavec[/font]
Construit sous licence en Tchécoslovaquie, l’Aero MB.200 n’entre en service qu’en 1937, époque à laquelle il est déjà considéré comme périmé. Néanmoins, il joue un rôle important pour la mise en œuvre d’une composante de bombardement lourde au sein de l’aviation tchécoslovaque. Il ne sera employé opérationnellement qu’entre septembre et novembre 1938, lors de l’annexion des Sudètes par le III. Reich, et terminera sa carrière dans les écoles de la Luftwaffe
Jagdgeschwader
par C-J. Ehrengardt
JG 27
La JG 27 a passé la majeure partie de son existence à se battre contre les Alliés occidentaux, mais elle connaît son heure de gloire en Afrique du Nord, où, chose exceptionnelle à cette époque, elle se battra au grand complet pendant près d’un an. Elle est aussi l’une des rares escadres à n’avoir jamais reçu de Fw 190
JG 50
La JG 50 tire son origine du Jagdgruppe Süd der ObdL, une unité spéciale « anti-Mosquito ». Elle est formée à Wiebaden-Erbenheim, le 21 juillet 1943, et placée sous les ordres du Major Hermann Graf, le plus grand as de la Luftwaffe à cette époque et le premier à avoir atteint les 200 victoires.
JG 51
Troisième escadre au palmarès général de la Luftwaffe, elle a été beaucoup marquée par la présence de Werner Mölders, premier pilote à battre le record mythique du « Baron Rouge », datant de la Première Guerre mondiale, au point que, après le décès du grand as, son nom sera officiellement donné à la JG 51 – un honneur assez rare. Elle est aussi la Geschwader la plus récompensée en termes de décorations, grâce, en partie, à un faible taux de rotation de ses meilleurs pilotes, dont beaucoup ont accompli la majeure partie de leur carrière en son sein.
En vente le 30 mai.
Après eux le déluge
Les briseurs de barrages
par Luc Vangansbeke
Le raid lancé par le Bomber Command contre les barrages allemands, dans la nuit du 16 au 17 mai 1943 reste l’une des opérations les plus audacieuses de la Seconde Guerre mondiale. Le succès fut attribuable tant à l’entêtement d’un ingénieur, qui contre vents et marées, surmonta tous les obstacles bureaucratiques et techniques, qu’à l’engagement d’une unité d’élite, spécialement formée pour cette mission. Mais les résultats furent-ils vraiment à la hauteur des espérances ?
Les petits Zéro qui vont sur l’eau
Le Nakajima A6M2-N « Rufe
par C-J. Ehrengardt
Sachant qu’une hydrobase est plus simple et plus rapide à construire qu’un aérodrome dans les îles du Pacifique les plus reculées et que ses porte-avions ne sauraient avoir le don d’ubiquité, l’état-major de la Marine impériale s’intéresse à un hydravion de chasse destiné à couvrir les débarquements amphibies. Elle sera la seule à mettre en œuvre un appareil de ce type de toute la Seconde Guerre mondiale.
Les avions français : le Bloch MB.200
par C-J. Ehrengardt
En 1928, un premier programme portant sur un bombardier lourd diurne et nocturne à cinq places (B5/Bn5) est lancé pour pourvoir au futur remplacement des LeO 20. Ce programme est modifié à deux reprises, en 1930 et en 1932, et entrera finalement dans le cadre du Plan I, autorisé en juin 1933.
Les Aero MB.200 tchécoslovaques
par Michal Plavec[/font]
Construit sous licence en Tchécoslovaquie, l’Aero MB.200 n’entre en service qu’en 1937, époque à laquelle il est déjà considéré comme périmé. Néanmoins, il joue un rôle important pour la mise en œuvre d’une composante de bombardement lourde au sein de l’aviation tchécoslovaque. Il ne sera employé opérationnellement qu’entre septembre et novembre 1938, lors de l’annexion des Sudètes par le III. Reich, et terminera sa carrière dans les écoles de la Luftwaffe
Jagdgeschwader
par C-J. Ehrengardt
JG 27
La JG 27 a passé la majeure partie de son existence à se battre contre les Alliés occidentaux, mais elle connaît son heure de gloire en Afrique du Nord, où, chose exceptionnelle à cette époque, elle se battra au grand complet pendant près d’un an. Elle est aussi l’une des rares escadres à n’avoir jamais reçu de Fw 190
JG 50
La JG 50 tire son origine du Jagdgruppe Süd der ObdL, une unité spéciale « anti-Mosquito ». Elle est formée à Wiebaden-Erbenheim, le 21 juillet 1943, et placée sous les ordres du Major Hermann Graf, le plus grand as de la Luftwaffe à cette époque et le premier à avoir atteint les 200 victoires.
JG 51
Troisième escadre au palmarès général de la Luftwaffe, elle a été beaucoup marquée par la présence de Werner Mölders, premier pilote à battre le record mythique du « Baron Rouge », datant de la Première Guerre mondiale, au point que, après le décès du grand as, son nom sera officiellement donné à la JG 51 – un honneur assez rare. Elle est aussi la Geschwader la plus récompensée en termes de décorations, grâce, en partie, à un faible taux de rotation de ses meilleurs pilotes, dont beaucoup ont accompli la majeure partie de leur carrière en son sein.
En vente le 30 mai.