Aéro-Journal n° 28 (avril-mai 2012)
Publié : lun. mars 19, 2012 10:04 am
6 juin 1944 – Opération « Overlord
C-J. Ehrengardt
Depuis juillet 1943, la Luftwaffe s’est minutieusement préparée à accueillir un débarquement des forces alliées sur le continent, avec tous les honneurs dus à leur rang. Dès le 3 juin 1944, les signes annonciateurs d’une opération imminente ne manquent pas. Et pourtant ! trois jours plus tard, elle est prise totalement par surprise. Les unités basées en France, dispersées aux quatre vents, réagissent avec retard et lenteur. Quant au transfert des renforts venus d’Allemagne, bien qu’en théorie soigneusement planifié, il prend une tournure cauchemardesque.
Gros plan sur une journée qui a changé la face du monde.
Avis de tempêtes
N. Braas
Le Hawker Fury de 1933 allait donner naissance à certain nombre d’activités cycloniques, à commencer par le Hurricane (ouragan), se poursuivant avec les Tornado, Typhoon et Tempest, et s’achevant avec le plus puissant avion de chasse à moteur à pistons jamais construit en série, le Sea Fury – la boucle était bouclée.
Foo Fighters – La vérité est encore ailleurs
G. Julien
Phénomènes naturels, hallucinatoires, armes tellement secrètes qu’elles n’ont jamais été découvertes ou… présence extraterrestre, soixante‑dix ans plus tard, les Foo Fighters demeurent nimbés d’un halo de mystère…
Rudolf « Rex » Nielinger – Un as comme les autres
Eddie Nielinger (alias Eddie Creek)
Des combats aériens qui ont opposé la Luftwaffe à l’ensemble de l’aviation alliée, le grand public a surtout retenu les exploits d’une poignée d’as, tous hautement décorés et titulaires de palmarès longs comme le bras. Or, si la chasse allemande a réussi à tenir aussi longtemps la dragée haute à ses adversaires, c’est surtout parce qu’elle a pu s’appuyer pendant une grande partie de la guerre sur des sous-officiers et des officiers subalternes, largement méconnus, mais dont la grande expérience leur a souvent permis de « tenir la baraque », tout en tentant de faire bénéficier de leurs conseils des jeunes recrues à l’avenir bien incertain.
Les Jagdgeschwader
C-J. Ehrengardt
JG 11
La JG 11 est formée en avril 1943 pour renforcer la défense du Reich. Commandée par des chefs prestigieux, son principal adversaire sera la 8th Air Force jusqu’au débarquement de Normandie. Ensuite, elle se battra surtout contre les forces aériennes tactiques alliées jusqu’à janvier 1945 et son transfert sur le font de l’Est, dont un de ses groupes en aura eu un avant-goût à l’été 1944.
JG 25
La JG 25 aura une existence éphémère et, en fin de compte, peu productive.
JG 26
La JG 26 possède la particularité d’avoir combattu l’aviation des Alliés occidentaux du début à la fin de la guerre, si l’on veut bien excepter une courte apparition sur le front de l’Est de l’un de ses Gruppen. Elle a été baptisée Schlageter en hommage à Albert Leo Schlageter, un activiste nationaliste, dont l’exécution par les Français en 1923 sera récupérée par la propagande nazie.
Les avions de combat français 1939-40
Le Blériot-SPAD 510
C-J. Ehrengardt
Quand on compare leur silhouette, il est difficile à imaginer que le Dewoitine D. 500 et le Blériot-SPAD 510 sont issus du même programme, celui de 1930, destiné à pourvoir au remplacement de la famille du Nieuport-Delage.
Parution avant le 1er avril pour être pris au sérieux.
C-J. Ehrengardt
Depuis juillet 1943, la Luftwaffe s’est minutieusement préparée à accueillir un débarquement des forces alliées sur le continent, avec tous les honneurs dus à leur rang. Dès le 3 juin 1944, les signes annonciateurs d’une opération imminente ne manquent pas. Et pourtant ! trois jours plus tard, elle est prise totalement par surprise. Les unités basées en France, dispersées aux quatre vents, réagissent avec retard et lenteur. Quant au transfert des renforts venus d’Allemagne, bien qu’en théorie soigneusement planifié, il prend une tournure cauchemardesque.
Gros plan sur une journée qui a changé la face du monde.
Avis de tempêtes
N. Braas
Le Hawker Fury de 1933 allait donner naissance à certain nombre d’activités cycloniques, à commencer par le Hurricane (ouragan), se poursuivant avec les Tornado, Typhoon et Tempest, et s’achevant avec le plus puissant avion de chasse à moteur à pistons jamais construit en série, le Sea Fury – la boucle était bouclée.
Foo Fighters – La vérité est encore ailleurs
G. Julien
Phénomènes naturels, hallucinatoires, armes tellement secrètes qu’elles n’ont jamais été découvertes ou… présence extraterrestre, soixante‑dix ans plus tard, les Foo Fighters demeurent nimbés d’un halo de mystère…
Rudolf « Rex » Nielinger – Un as comme les autres
Eddie Nielinger (alias Eddie Creek)
Des combats aériens qui ont opposé la Luftwaffe à l’ensemble de l’aviation alliée, le grand public a surtout retenu les exploits d’une poignée d’as, tous hautement décorés et titulaires de palmarès longs comme le bras. Or, si la chasse allemande a réussi à tenir aussi longtemps la dragée haute à ses adversaires, c’est surtout parce qu’elle a pu s’appuyer pendant une grande partie de la guerre sur des sous-officiers et des officiers subalternes, largement méconnus, mais dont la grande expérience leur a souvent permis de « tenir la baraque », tout en tentant de faire bénéficier de leurs conseils des jeunes recrues à l’avenir bien incertain.
Les Jagdgeschwader
C-J. Ehrengardt
JG 11
La JG 11 est formée en avril 1943 pour renforcer la défense du Reich. Commandée par des chefs prestigieux, son principal adversaire sera la 8th Air Force jusqu’au débarquement de Normandie. Ensuite, elle se battra surtout contre les forces aériennes tactiques alliées jusqu’à janvier 1945 et son transfert sur le font de l’Est, dont un de ses groupes en aura eu un avant-goût à l’été 1944.
JG 25
La JG 25 aura une existence éphémère et, en fin de compte, peu productive.
JG 26
La JG 26 possède la particularité d’avoir combattu l’aviation des Alliés occidentaux du début à la fin de la guerre, si l’on veut bien excepter une courte apparition sur le front de l’Est de l’un de ses Gruppen. Elle a été baptisée Schlageter en hommage à Albert Leo Schlageter, un activiste nationaliste, dont l’exécution par les Français en 1923 sera récupérée par la propagande nazie.
Les avions de combat français 1939-40
Le Blériot-SPAD 510
C-J. Ehrengardt
Quand on compare leur silhouette, il est difficile à imaginer que le Dewoitine D. 500 et le Blériot-SPAD 510 sont issus du même programme, celui de 1930, destiné à pourvoir au remplacement de la famille du Nieuport-Delage.
Parution avant le 1er avril pour être pris au sérieux.
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