Page 2 sur 2

Publié : ven. août 02, 2013 5:10 pm
par warbird2000
Terminé de lire.

Parfois un peu lassant de lire continuellement des récits du style X abat tel avion tel jour. Mais le fait d'intercaler des bilans après chaque période permet de se de jauger globalement la jg 53 sur les différents théâtres.

A lire les récits, le p-38 ne semble pas avoir fait grande impression chez les allemands vu le nombre élevé de revendications ayant pour objet ce type d'avion.

Le p-51 donne de nouveau l'impression d'avoir élevé d'un cran la supériorité aérienne. A partir de son introduction en masse, on voit que la jg 53 est à la peine

Content aussi d'avoir quelques combats relatant des k-4 même si cet avion ne semble rien avoir changé aux combats?

edit

Publié : jeu. août 22, 2013 9:09 pm
par Taeht Dewoht
Asterix a écrit :J'ai également remarqué, suite à la lecture d'articles sur la défense du Reich, que les Alliés ou tout au moins les pilotes Américains (je ne sais pas ce qu'il en est des Britanniques) semblent avoir fréquemment mitraillé les pilotes allemands au bout de leur parachute après les avoir descendu, est-ce qu'il y a plus de documentation sur ce sujet ?
est-ce que les Allemands faisaient aussi cela ?

Si on écarte les gestes gratuits, sadiques et isolés inintéressants, la question est pertinente. Assassiner un pilote qui se parachute au-dessus du territoire ennemi n'a aucun intérêt puisque'il sera prisonnier.

La question prend une autre tournure quand il s'agit d'un pilote qui saute au dessus de son propre camp. La guerre est la guerre: le raisonnement chevaleresque qui veut qu'on abatte la machine et qu'on n'assassine pas un homme en parachute est logique mais le raisonnement qui veut qu'on tue l'ennemi pour éviter qu'il ne remonte dans une machine l'après midi et qu'il vous descende un B17 avec ses 10 occupants, hélas, l'est aussi... Et je suis bien content de ne jamais avoir été confronté à ce genre de dilemme.

Mais je crois que peu de chasseurs pensaient à tirer sur un parachute, d'une part, et d'autre part, l'occasion ne devaient pas se présenter d'une façon pratique très souvent.