Publié : sam. mars 17, 2012 1:15 am
Marrant en Savoie je l'ai trouvé le jour de la sortie ^^
La simulation de vol de combat
https://ts.checksix-fr.com/
III/JG52-Freiherr V. Kaos a écrit :La n°1 PRU à bien fait partie du Coastal Command, il n'y a aucun soucis là dessus.
III/JG52-Freiherr V. Kaos a écrit :En l’occurrence, dans les faits, il me semble tout de même que par la force des choses, c'est bien le bomber command qui à le plus bénéficié des services des unités PR.
Que le Bomber Command renvoie l'Amirauté à ses chères études, OK, mais l'EMG de la RAF soi-même je m'interrogeCJE a écrit :Absolument, mais c'était logique.
Mais si les PR avaient été subordonnées au Bomber Command, l'Amirauté aurait pu aller se brosser pour les missions "Dicer" et l'EMG pour la recherche des sites de V-1 (Crossbow ?).
Sidney Cotton était un personnage hors norme sous toutes les coutures.larsenjp a écrit : J'avoue que je ne savais pas que le CC avait des Spits de reconnaissance.
Après enquête rapide, il s'avère que le Bismarck a en fait été photographié par un Spit de la n°1 Photographic Reconnaissance Unit. Pas sûr quand même que cette unité fasse partie du CC.
D'après wiki, c'est une unité un peu spéciale, issue à l'origine d'une compagnie privée qui avait un contrat avec la RAF pour effectuer des vols de reconnaissance clandestins sur l'Europe ; ses flights ont ensuite éclaté en plusieurs squadrons.
warbird2000 a écrit : L'épopée du Bismark m'a toujours fascinée et je trouve que c'est un bon choix pour un premier numéro car il montre bien la transition entre les anciennes conceptions et les nouvelles idées sur les affrontements en mer
Un grand merciSpruceGoose a écrit :Si tu t’intéresses à la destinée des grands navires, je peux te conseiller :
http://www.amazon.fr/Bismarck-Final-Ger ... =1-1-fkmr0
http://www.amazon.fr/Tirpitz-Death-Germ ... 046&sr=1-1
http://www.amazon.fr/The-Battle-North-C ... 124&sr=1-1
Désolé, je ne possède aucun ouvrage sur le Yamato.
* * *
Tu as basculé du côté de l'ebook... J'hésite un peu, d'un côté plus de problème question étagère, de l'autre j'ai quand même un peu de mal avec les livres électroniques.warbird2000 a écrit :Un grand merci:notworthy
Les deux premiers sont au format Kindle qui est bien moins cher.
Je les ai acheté tout les deux . Vite jeté un coup d'oeil sur celui du bismark et ravi de l'achat
Pour le Tirpitz et Yamato, il existe les deux hs de navire & histoire de Lela
larsenjp a écrit :Que le Bomber Command renvoie l'Amirauté à ses chères études, OK, mais l'EMG de la RAF soi-même je m'interrogeLe Bomber Command était-il si puissant que ça? Avant l'arrivée de Harris?
Disons qu'une tablette est conseillée . Aussi bien l'ipad que le tablettes android, offrent un lecteur kindle.Tu as basculé du côté de l'ebook... J'hésite un peu, d'un côté plus de problème question étagère, de l'autre j'ai quand même un peu de mal avec les livres électroniques.
Je connais l'histoire mais Harris pouvait objecter que ses lourds n'étaient pas les appareils les plus indiqués pour faire des missions d'appui tactique. La suite lui a d'ailleurs donné partiellement raison. Priver le haut-commandement de moyens reco juste pour ses besoins opérationnels propres, c'est autre chose selon moi. Ceci dit, il est vrai que le Bomber Command était l'arme par excellence de la RAF comme tu l'as je crois déjà exposé plusieurs fois dans AJ. Il pouvait donc s'autoriser des choses que le Coastal Command ne pouvait sans doute pas. Et Harris m'avait tout l'air d'être un sacré personnage.CJE a écrit :Les choses ne sont pas aussi simples.
L'EMG décide de l'orientation stratégique, les Commands de leur application au quotidien. Leur délégation est parfois si importante que certains font à peu près ce qu'ils veulent. Eisenhower a dû mettre tout son poids dans la balance devant Churchill pour contraindre Harris à effectuer des missions tactiques dans le cadre d'Overlord.
Je connais aussi cette histoire-là comme je suppose pas mal de monde ici. A la décharge de ce scribouillard, il a pu considérer au départ que le P-51B n'était qu'un bricolage cherchant à masquer un échec sanglant. Mais il est vrai qu'il est allé très loin.CJE a écrit :La Materiel Division de l'USAAF a bien failli faire capoter le dossier du Mustang-Merlin, simplement parce que son chef, un simple général de brigade, n'aimait ni l'avion ni son constructeur. Le sort du P-51B n'a tenu qu'à un fil pendant de longs mois, sauvé du couperet tout autant, voire plus, par des éléments extérieurs que par une pression interne à l'Air Force.
Il ne faut pas se focaliser sur ce pauvre homme. Dans une monographie crowood sur le p-38,il est dit que beaucoup de personnalités haut-placées avaient des difficultés à accepter que le p-38 soit évincé au profit du p-51.Je connais aussi cette histoire-là comme je suppose pas mal de monde ici. A la décharge de ce scribouillard, il a pu considérer au départ que le P-51B n'était qu'un bricolage cherchant à masquer un échec sanglant. Mais il est vrai qu'il est allé très loin.
Attaquer des zones de rassemblement de char avec des formations de bombardiers n'a pas grand chose à voir avec de l'appui tactique au sens propre du terme.larsenjp a écrit :Je connais l'histoire mais Harris pouvait objecter que ses lourds n'étaient pas les appareils les plus indiqués pour faire des missions d'appui tactique. La suite lui a d'ailleurs donné partiellement raison.
Cela dépend de ce que tu entends par appui tactique. C'est vrai que le carpet bombing ne fait pas appel aux FAC mais l'appui tactique ne se réduit pas à mon avis aux seuls Tiffies et autres jabos. D'ailleurs la 2nd TAF possédait des unités de bombardiers moyens sur Boston.III/JG52-Freiherr V. Kaos a écrit :Attaquer des zones de rassemblement de char avec des formations de bombardiers n'a pas grand chose à voir avec de l'appui tactique au sens propre du terme.
On peut considerer en effet que les bombardiers font la même chose que l'artillerie qui quand elle tire, vise des coordonnées sur une carte mais en moins précis.larsenjp a écrit :Cela dépend de ce que tu entends par appui tactique. C'est vrai que le carpet bombing ne fait pas appel aux FAC mais l'appui tactique ne se réduit pas à mon avis aux seuls Tiffies et autres jabos. D'ailleurs la 2nd TAF possédait des unités de bombardiers moyens sur Boston.
Dans le cas évoqué, l'objectif était plutôt de faire place nette en détruisant la première ligne de défense allemande ainsi que les premières réserves. Il y a bien eu intervention directe des heavies sur le champs de bataille. J'aurais donc tendance à penser que c'est de l'appui tactique mais ce n'est que mon avis.
J'en entend la définition militaire, qui s'applique ici.larsenjp a écrit :Cela dépend de ce que tu entends par appui tactique
Certainement pas.warbird2000 a écrit :On peut considerer en effet que les bombardiers font la même chose que l'artillerie qui quand elle tire, vise des coordonnées sur une carte mais en moins précis.
OK, tu appelles ça comment alors?III/JG52-Freiherr V. Kaos a écrit :Si ces conditions ne sont pas réunies, ce dont je doute, ce n'est plus de l'appui tactique.
Tu notera que wiki, utilise aussi le terme Close air supportlarsenjp a écrit :OK, tu appelles ça comment alors?
http://en.wikipedia.org/wiki/Carpet_bombingCarpet bombing was used as close air support (as "flying artillery") for ground operations. Massive bombing concentrated in a narrow and shallow area of the front (a few kilometers by a few hundred metres deep), closely coordinated with advance of friendly troops. The first successful use of the technique was on May 6, 1943, at the end of Tunisia Campaign. Carried out under Sir Arthur Tedder, it was hailed by press as Tedder's bomb-carpet (or Tedder's carpet). The bombing was concentrated in a four by three mile area preparing the way for the First Army.[8] This tactic was later used in many cases in Normandy Campaign, for example in Battle for Caen.[9]
Ha bon, 6 kilomètres par 5, c'est du concentré ? En gros si tu bombardes les troupes, c'est du close air support pour Wikipedia.warbird2000 a écrit :Tu notera que wiki, utilise aussi le terme Close air support
Carpet bombing was used as close air support (as "flying artillery") for ground operations. Massive bombing concentrated in a narrow and shallow area of the front (a few kilometers by a few hundred metres deep), closely coordinated with advance of friendly troops. The first successful use of the technique was on May 6, 1943, at the end of Tunisia Campaign. Carried out under Sir Arthur Tedder, it was hailed by press as Tedder's bomb-carpet (or Tedder's carpet). The bombing was concentrated in a four by three mile area preparing the way for the First Army.[8] This tactic was later used in many cases in Normandy Campaign, for example in Battle for Caen.[9]
http://en.wikipedia.org/wiki/Carpet_bombing