larsenjp a écrit :Bref, on s'écarte, et je maintiens que, pour avoir des résultats en Normandie, il aurait sans doute fallu à la Luftwaffe plus que quelques dizaines de 262. D'autant que ces avions n'étaient pas invulnérables à la chasse alliée.
2 choses :
Parfois, certaines batailles ont été gagnées non pas par le nombre d'avions engagés, mais parce qu'ils étaient au bon endroit au bon moment (le coulage du Bismark, Midway).
Le débarquement à Omaha beach était une catastrophe, et il s'en est fallu de peu pour que le débarquement échoue.
D'autre part, tu raisonnes en connaissance de cause, en ayant une vision globale des faits, après coup.
Or ce que j'essayais de dire, c'est que début 44, compte-tenu de la situation, ça ne me semble pas idiot de tout faire pour avoir un bombardier très rapide pour arroser les plages d'un éventuel débarquement ! D'autant plus que le concepteur de cet avion ultra rapide m'a dit quelques mois avant que ça ne posait aucun problèmes.
J'ai vraiment hâte de m'acheter le bouquin, surtout pour en savoir un peu plus sur les unités de reconnaissance.
Tout ce que je sais, je l'ai lu dans... Le Grand Cirque ! A part, ça, il y a très peu de documentation...
Pourtant, j'imagine que l'avion devait être super dans ce rôle. Tout le monde vante les mérites de l'Ar 234, mais je ne comprend pas vraiment ce qu'il avait de plus que le 262.
. Le programme de l'Ar 234 était dès l'origine celui d'un avion de reconnaissance.
